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COURIR SOUTIENT LA RECHERCHE SUR LE CANCER DU SEIN
À l’occasion d’Octobre Rose, Courir s’engage aux côtés de l’association Ruban Rose pour soutenir la recherche sur le cancer du sein. Du 1er au 31 octobre, 5 euros seront reversés à l’association sur chaque vente d’une sélection de sneakers roses signalées par un logo Pink Spirit_.

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« Le cancer du sein, c’est une maladie de vieille. »
« Le cancer du sein, ça ne touche que les femmes. »
« Pour guérir du cancer du sein, il faut tout enlever. »
Du diagnostic de la maladie à son traitement, le cancer du sein s’accompagne d’un grand nombre de préjugés que chacun peut entendre ou penser. Il vous est peut-être arrivé de penser l’une de ces phrases. Nous aussi. Ces idées reçues, Courir souhaite les déconstruire à travers sa campagne PINK SPIRIT, pour aller au-delà des clichés sur la maladie.
préjugé #1PINK SPIRIT_
« Le cancer du sein, c’est une maladie de vieille. »
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PRÉJUGÉ #1
« Le cancer du sein, c’est une maladie de vieille. »
Quand on est jeune comme Cécilia, on se sent intouchable, limite invincible. Alors le cancer du sein, on n’y pense pas. En tout cas, pas tout de suite. S’il est vrai que le cancer du sein touche majoritairement les femmes de plus de 50 ans (l’âge moyen d’un diagnostic du cancer du sein est de 63 ans) *, cela ne veut pas dire que les jeunes femmes sont épargnées.
Près de 3 000 femmes atteintes du cancer du sein ont moins de 40 ans. Certains facteurs peuvent bien sûr augmenter les risques de cancer du sein comme des prédispositions génétiques, la consommation de tabac et/ou d’alcool (plus de 6 verres par semaine) ou encore l’obésité. ** Mais si le cancer du sein est une maladie rare chez les femmes de moins de 35 ans, voire exceptionnelle chez celles de moins de 20 ans, il ne faut pas oublier qu’elle existe. D’où l’importance de pratiquer l’autopalpation et de consulter au moindre doute.
* Source Institut Curie
** Source Ruban Rose
préjugé #2PINK SPIRIT_
« Une douleur à la poitrine, c'est le 1er symptôme d'un cancer du sein. »
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préjugé #2
« Une douleur à la poitrine, c'est le 1er symptôme d'un cancer du sein. »
Whitney a 26 ans quand elle détecte une boule dans sa poitrine, et pense immédiatement à un cancer. Whitney prend rendez-vous avec sa gynécologue, qui n’effectue qu’une échographie : « À votre âge, ça ne peut pas être un cancer du sein ! ». Whitney repart avec son inquiétude et une pilule contraceptive. Le fait que la grosseur dans sa poitrine soit indolore la rassure pendant toute une année.
Seulement l’année suivante, cette même grosseur commence à la gêner, puis à lui faire mal. Le simple contact d’un soutien-gorge devient douloureux. Elle prend rendez-vous avec un autre médecin, qui décide de pousser les examens. La masse logée dans la poitrine de Whitney, au début indolore, était en réalité le signe d’un cancer du sein. Un cancer qui a finalement nécessité une mastectomie, 16 séances de chimiothérapie et 15 séances de rayons. Une grosseur suspecte dans la poitrine n’est pas forcément douloureuse, d’ailleurs moins de 7% des femmes parlent de douleur comme symptôme d’un cancer du sein*. C’est pourquoi au moindre doute, il est primordial de prendre rapidement rendez-vous avec votre médecin pour pouvoir vous faire dépister et vous éclairer sur la situation.
* Source Evaluation and management of breast pain, Robin L. Smith, Sandhya Pruthi et Lorraine A. Fitzpatrick
préjugé #3PINK SPIRIT_
« Le cancer du sein, ça ne touche que les femmes »
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PRÉJUGÉ #3
« Le cancer du sein, ça ne touche que les femmes »
Victor a 15 ans quand il apprend que sa mère a un cancer du sein. Après le choc de l’annonce s’en suit une période difficile : en pleine adolescence Victor est également en pleine construction, il essaie de gérer comme il peut, entre sa tristesse, ses peurs, son besoin de légèreté et son amour pudique pour sa mère, mais les crises s’enchaînent.
Il faut dire qu’à l’époque il connaît très mal cette maladie. Et c’est même 10 ans plus tard, lors de notre shooting photo, qu’il apprend que le cancer du sein peut aussi toucher les hommes. Certes, ces derniers ne représentent qu’1% des cas de cancer du sein*, mais en se sentant si peu concernés, les hommes n’y pensent pas et se font souvent diagnostiquer à un stade déjà bien (trop) avancé... Voilà pourquoi il est si important de le rappeler : non, le cancer du sein n’est pas réservé qu’aux femmes.
* Source Ruban Rose
préjugé #4PINK SPIRIT_
« Le dépistage du
cancer du sein, c’est forcément chez le gynéco. »
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PRÉJUGÉ #4
« Le dépistage du cancer du sein, c’est forcément chez le gynéco. »
Début 2022, Yann-Estelle a 26 ans. Un jour qui aurait pu ressembler à n’importe quel autre jour, elle prend sa douche et là tout bascule : elle sent une masse dans son sein. Mais Yann-Estelle ne s’inquiète pas : après tout, elle est jeune et personne dans sa famille n’a déjà été touché par le cancer du sein.
Un mois plus tard, Yann-Estelle sent une seconde boule dans sa poitrine et réalise des examens complémentaires. C’est là que le verdict tombe : Yann-Estelle a un cancer du sein de type HER2 positif. Deux ans plus tard, Yann-Estelle est formelle : « À la suite de mon cancer, mes copines sont devenues plus sensibles à ce qui peut se passer au niveau de leur poitrine. C’est un mal pour un bien... Mais si j’avais un conseil à donner, c’est d’avoir recours à l’autopalpation une fois par mois, après les règles. C’est un geste facile et rapide à effectuer, et ça peut tout changer. ». L’autopalpation, c’est peut-être ce qui a sauvé Yann-Estelle. En effet, un cancer du sein détecté suffisamment tôt est un cancer qui guérit dans 9 cas sur 10*.
* Source site de l’Assurance Maladie
préjugé #5PINK SPIRIT_
« Le cancer du sein, c’est forcément
génétique »
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PRÉJUGÉ #5
« Le cancer du sein, c’est forcément génétique »
Lorsque l’on devient mère, comme Leila, les questions de gènes et de transmissions se posent forcément, parfois sournoisement. Quand il s’agit du cancer du sein une chose est sûre : oui il existe des formes héréditaires de la maladie, mais elles ne représentent en réalité que 5 à 10% des cancers du sein.
On suspecte une forme dite familiale lorsque plusieurs personnes au sein d’une même famille sont ou ont été atteintes d’un cancer du sein. Bien souvent, il s’agit d’une mutation sur le gène BRCA1 ou BRCA2, qui augmente le risque de développer un cancer du sein dans sa vie de 40 à 80%. * Dans la majorité des cas, ce sont donc des facteurs externes qui peuvent accroître les risques de cancer du sein, comme l’âge de la personne, une puberté précoce couplée à une ménopause tardive, la consommation régulière de tabac et/ou d’alcool, l’obésité** ou encore l’inactivité physique.
* Source Fondation pour la Recherche Médicale
** Source Ruban Rose
préjugé #6PINK SPIRIT_
« Après un cancer, impossible de se
reconstuire. »
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préjugé #6
« Après un cancer, impossible de se reconstuire. »
Marielle a 50 ans lorsqu’on lui diagnostique un cancer du sein. Avant d’être touchée, elle associait le cancer à la maladie dans ce qu’elle a de plus extrême, à la mort. Et pourtant, c’est une renaissance qu’elle va connaître, alors même qu’on lui annonce un parcours extrêmement difficile : un traitement de 18 mois, long et douloureux. À ce moment-là, elle est en plein burn-out et a du mal à trouver sa place, mais c’est finalement son combat contre le cancer du sein qui va enfin lui donner le sentiment d’être légitime. D’appuyer sur pause, de se prioriser et de s’écouter. Plus que jamais elle prend soin d’elle, apprend à s’aimer mais aussi à dire non.
Elle trouve du réconfort auprès de groupes de paroles, de précieuses informations via des médias spécialisés et de l’aide grâce à la médecine alternative : sophrologie, homéopathie, réflexologie ou encore magnétisme.
Depuis, Marielle est devenue mannequin senior et s’est lancée dans le conseil en image. Ce qu’elle souhaite ? Réconcilier les femmes avec leur image, en passant un message clair : on peut trouver du beau partout, même dans l’adversité.